THE KNICK

SÉRIE USA - 2014
Série série médicale en costumes,
produite et réalisée par Steven Soderbergh
 (Sexe, Mensonges et Vidéo; Erin Brockovich, seule contre tous; Traffic; Ocean's Eleven...)
02 saison - saison 02 en tournage

Résumé... The Knick -abréviation de "The Knickerbocker Hospital" qui a fermé ses portes en 1979- nous emmène partager le quotidien du staff de l'hôpital Knickerbocker de New York, où chirurgiens et infirmières tentent de repousser les limites de la médecine en usant de méthodes peu orthodoxes, à une époque où le taux de mortalité est encore extrêmement élevé.


Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…

Sans doutes faut-il être un peu hypocondriaque, avoir toujours révé de faire médecine, ou être passionné de biomécanique et de physiologie pour apprécier le récit historique de la chirurgie moderne qui nous est montré ici ? Non, même si vous tombez dans les pommes devant la moindre goutte de sang, et malgré la scène d'ouverture sur une césarienne qui finit très mal (un carnage !), vous n'allez pas pouvoir faire marchine arrière ! Et vous allez aimer Clive Owen, en Dr John « Thack » Thackery, séduisant génie de la chirurgie et cocaino-addict ; vous voudrez soutenir Andre Holland, chirurgien noir rejeté pour la couleur de sa peau et tout savoir des secrets d'alcôves de cet hôpital... Je n'oublie pas les trois principaux rôles féminins : histoires d'amour pour les magnifiques Juliet Rylance et Eve Hewson ou de conscience pour Sœur Harriet ...
Déjantés et passionnés dans #TheKnick ? Ah oui ils le sont, mais il fallait l'être pour inventer la césarienne, oser l'appendisectomie ou imaginer une auto-greffe de peau...

La presse en parle...
Telerama.fr/series-tv : "...“The Knick” : Soderbergh à bloc... Avec cette série médicale sur la naissance de la chirurgie moderne, Soderbergh entraîne Clive Owen dans le sombre et l'intense...«Vous êtes un fou», lâche une femme à Thackery. «C’est de la folie, mais méthodique», lui réplique-t-il. De la folie, et de la boucherie. The Knick, série médicale en costumes, raconte la naissance de la chirurgie moderne, à une époque où une vilaine fracture vous coûtait la jambe et une mauvaise fièvre la vie... En plongeant un siècle en arrière, Steven Soderbergh (producteur et réalisateur ; la création de la série revient au duo Jack Amiel et Michael Begler) apporte du sang frais au genre et saisit, à son point de départ, l’excitation, le stress du bloc, le souffle dramatique aux accents techniques qui portaient Urgences et les meilleures fictions médicales.
Surtout, il n’oublie pas de se reposer sur des personnages forts, à commencer par le Docteur Thackery – que l’on a envie, un instant, de comparer à Gregory House, caractère solitaire et addiction aidant. Autour de lui, une palette de chirurgiens et un personnel médical qui gagne en épaisseur à chaque épisodes"

Series-tv.premiere.fr : "... Du côté de la réalisation, la pâte de Soderbergh est indéniable. Le cinéaste nous propose une multitude de plans rarement choisis dans des séries, à quelques exceptions près (comme True Detective par exemple). En lieu et place des habituels plans américains ou rapprochés utilisés pour capturer une conversation, on découvre, particulièrement dans des séquences en extérieur, des plans d’ensemble qui permettent au spectateur de mieux saisir, tel un passant, le tumulte et la confusion qui régissaient les rues de New-York en 1900. Egalement directeur de la photographie, Soderbergh utilise un filtre froid, à l’image de ce qu’il a fait dans Traffic, qui convient avec justesse à l’atmosphère morose de l’époque..."

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Nominations Golden Globes 2015

Quand tu réalises que dans les nominés pour les #GoldenGlobes2015 et les #Oscars2015
se trouvent exclusivement les séries que tu as VRAIMENT AIMEES,
sur lesquelles tu postes, tu tweetes, et tu publies, tu te dis quoi ?
Que ton parti pris de ne parler que de ce que tu aimes t'a fait économiser de l'encre ?
Oui, mais encore ?  ;-)

 Le blog séries TV de Chablabla


Découvrez les nominations aux 72ème Golden Globes, cérémonie de récompenses de l’anti-chambre des Oscars. La soirée aura lieu le 11 janvier 2015







Catégories Télévision
Meilleure série dramatique

Meilleure actrice dans une série dramatique
Claire Danes – HOMELAND
Viola Davis – HOW TO GET AWAY WITH MURDER 
Julianna Margulies – THE GOOD WIFE
Ruth Wilson – THE AFFAIR
Robin Wright – HOUSE OF CARDS

Meilleur acteur dans une série dramatique
Clive Owen – THE KNICK
Liev Schreiber – RAY DONOVAN
Kevin Spacey – HOUSE OF CARDS
James Spader – THE BLACK LIST
Dominic West – THE AFFAIR

Meilleur téléfilm ou mini-série
FARGO
THE MISSING
THE NORMAL HEART
OLIVE KITTERIDGE 

Meilleur acteur dans un téléfilm ou mini-série
Martin Freeman  - TRUE DETECTIVE
Woody Harrelson - TRUE DETECTIVE
Matthew McConaughey - TRUE DETECTIVE
Mark Ruffalo – THE NORMAL HEART
Billy Bob Thornton - FARGO

Meilleure actrice dans un téléfilm ou mini-série
Maggie Gyllenhaal THE HONOURABLE WOMAN
Jessica Lange – AMERICAN HORROR STORY
Frances McDormand – OLIVE KITTERIDGE
Frances O’Connor- THE MISSING
Allison Tolman - FARGO

Meilleur second rôle masculin dans une série, mini-série ou un téléfilm
Matt Bomer – THE NORMAL HEART
Alan Cumming – THE GOOD WIFE
Colin Hanks – FARGO
Bill Murray – OLIVE KITTERIDGE
Jon Voight – RAY DONOVAN

Meilleur second rôle féminin dans une série, mini-série ou un téléfilm
Uzo Aduba  – ORANGE IS THE NEW BLACK
Allison Janney – MOM
Kathy Bates – AMERICAN HORROR STORY
Joanne Froggatt – DOWNTOWN ABBEY
Michelle Monaghan – TRUE DETECTIVE

Meilleure série comique
GIRLS
JANE THE VIRGIN
ORANGE IS THE NEW BLACK 
SILICON VALLEY 
TRANSPARENT

Meilleur acteur dans une série comique
Louis C.K. – LOUIE
Don Cheadle – HOUSE OF LIES
Ricky Gervais – DEREK
William H. Macy – SHAMELESS
Jeffrey Tambor – TRANSPARENT

Meilleure actrice dans une série comique
Lena Dunham – GIRLS
Edie Falco – NURSE JACKIE 
Julia Louis-Dreyfus – VEEP 
Gina Rodriguez – JANE THE VIRGIN 
Taylor Schilling – ORANGE IS THE NEW BLACK

 

THE AFFAIR

SÉRIE américaine dramatique - 2014
Série créée par Sarah Treem et Hagai Levi

02 saisons - saison 02 en tournage







Résumé... Écrite par Hagai Levi, le créateur de EN ANALYSE, et Sarah Treem, scénariste de EN ANALYSE et de HOUSE OF CARDS, THE AFFAIR explore la crise traversée par deux couples face à une liaison extraconjugale. Les dix épisodes offrent une double approche émotionnelle de chaque couple en développant deux points de vue. Dominic West, lauréat d'un BAFTA pour son interprétation de Richard Burton dans LIZ TAYLOR ET RICHARD BURTON - LES AMANTS TERRIBLES et unanimement salué pour son interprétation dans la série SUR ÉCOUTE, incarne Noah face à Ruth Wilson (Alice Morgan dans LUTHER) qui prête ici ses traits à Allison. Maura Tierney (Abby Lockhart dans URGENCES) et Joshua Jackson (FRINGE) interprètent leurs conjoints respectifs. Mark Mylod, réalisateur de nombreux épisodes d'ENTOURAGE et de SHAMELESS, assure la mise en scène et participe à la production exécutive.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
C’est à quatre mains, un homme, une femme, que cette relation extra-conjugale nous est contée. Vue de mars, vue de vénus… l’aventure de l’homme et de la femme, éternelle, intemporelle. La fugacité de ce désir qui nous pousse parfois si loin de nos convictions et de nos promesses. Jusqu’où l’engagement à l’autre ne finit-il pas par nous éloigner de nous-même ? Dès les premières minutes on sait qu’on est là, au cœur de nos contradictions et de la difficulté à être à deux, à rester un couple…
IL raconte, on voit le film de l'histoire se dérouler. Et en milieu d’épisode, un break nous ramène au début, et c’est ELLE qui raconte. Le même moment de leur aventure, selon qu’il est ressenti et raconté au masculin ou au féminin, n’est pas le même. C'est terrifiant... 
Nous semblons de la même espèce, vous les hommes, et nous les femmes, mais c’est un leurre, un tour de dame nature qui, joueuse, nous a réunis dans la même espèce, avec des sensibilités aux antipodes les unes des autres. Mais, la vraie grande entourloupe, c'est qu'elle a aiguisé nos appétits pour que nous n’ayons qu’un seul et puissant désir, récurrent, énorme, tout le temps : nous plaire, nous renifler, nous aimer… 
C’est ça la vraie «affaire» !
Quelle belle idée d’explorer la tromperie en double scénario. De quoi devenir quand même un peu schizophrène dans la vraie vie…

La presse en parle...
Télérama.fr : "«The Affair» s'attache à une liaison aux conséquences obscures. Un récit intrigant au casting quatre étoiles..."

serieTv.blog.LeMonde.fr : "Rencontré très brièvement à Paris, le créateur de « The Affair », l’Israélien Hagai Levi (auquel on doit la formidable série « En analyse ») commente son projet : « Chacun des dix épisodes de cette première saison est structuré de la même manière, avec une partie narrée par Noah, l’autre par Alison. On brûle toujours de savoir, quand on tombe amoureux de quelqu’un, marié ou pas, comment l’autre vit cette relation. Que pense, ressent et voit réellement l’autre, qu’il s’agisse de moi mais aussi du monde qui l’entoure ? Et comment vit l’autre lorsque nous ne sommes pas ensemble ? C’est ce que j’ai rêvé de faire avec “The Affair” : que l’on vive l’histoire de l’attraction non voulue entre deux êtres du point de vue de chacun. » Ce qui permet d’engager le téléspectateur sur de fausses pistes selon les versions proposées, et de l’intriguer à l’extrême…"

Lesinrocks.com : "La première demi-heure laisse augurer une petite aventure banale, solaire, tout juste contrariée par deux événements morbides que nous tairons. Jusqu’au moment où (attention, inévitable spoiler) le spectateur comprend qu’il a perçu l’intrigue depuis un seul point de vue. Celui de l’homme. Alors, la perspective bascule et c’est la vision de la maîtresse potentielle que l’on adopte. Lui la montrait sexy, légère, joyeuse en robe courte. On la découvre endeuillée, triste, hésitante. Tous deux, on le comprend de plus en plus clairement, racontent leur histoire à un flic..."

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MASTERS OF SEX

séries TV Cha regarde trop de sériesSÉRIE américaine dramatique - 2013
Série créée par Michelle Ashford 

03 saisons - saison 03 en tournage

Résumé... A partir de 1957, et jusque dans les années 90, William H. Masters et Virginia Johnson, collègues et, plus tard, époux, révolutionnèrent la recherche scientifique sur la sexualité. Obstétricien de renom à l’université de Saint Louis, Masters, fatigué de travailler sur « comment naissent les bébés », décida, contre l’avis de ses supérieurs, de comprendre « comment on fait les bébés ». D’analyser le désir, le plaisir, l’orgasme, en recrutant des centaines de volontaires, prêts à jouir – seuls ou à deux – pour la science. Showtime, la chaîne de Dexter et Homeland, lançait ainsi Masters of sex, une série historique retraçant l'histoire vraie de ce gynécologue qui, en 1957, décide de mener avec son assistante la plus grande étude moderne jamais réalisée sur la sexualité humaine.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Les costumes et le décor l'époque et le ton caustique de Mad Man, deux acteurs étonnants, un scénario improbable, et c’est parti pour les débuts de la gynécologie, la découverte du sexe féminin, du désir (non ? Si !), du plaisir (re-non ?, re-si !) par la science ! Une histoire vraie.
Alors oui, évidemment, ça parle des hommes, des femmes, de leur désir et de leur plaisir. Alors oui, évidemment, j’ai regardé. Et j’ai beaucoup appris. Une plongée dans l’histoire de la femme, mais aussi dans les circonvolutions du couple et des contradictions de la société américaine.
On soupçonne que la femme, comme l’homme, doit avoir du désir et du plaisir, on aime la liberté du personnage de Virginia Johnson : une femme libérée qui aime le sexe et qui l'assume, mais en même temps cette femme-là dérange tellement ! Se pose alors la question de la place de la femme perçu d'abord comme une mére, de ses désirs, de sa féminité, de sa relation à la sexualité.
La bonne nouvelle, c'est qu'alors que 90%  des adultes seraient incapables de dessiner la forme exacte d'un clitoris (amis incultes ouvrez vos yeux ici...>>) en fait quelques scientifiques s'y interessaient quand même depuis des années. Voyage au centre de la sexualité...

La presse en parle...
Télérama.fr :  "Masters et Johnson, les chercheurs d'orgasme de “Masters of sex”", une série plus qu'excitante. Passionnante réflexion sur la libération sexuelle, “Masters of sex” nous dit tout sur les pionniers de la recherche scientifique sur l'orgasme. Un pur plaisir...." « …(1) On n’est pas obligé, même soixante ans après les événements, d’avoir lu l’essai majeur de Masters et Johnson, Les Réactions sexuelles, publiées en 1967 chez Robert Laffont. »

serieTv.blog.LeMonde.fr : "Subtile digression sur un sujet délicat. Cette série n'est pas seulement une très bonne surprise. Elle est une fiction animée par une grande intelligence et par une réelle subtilité sur un sujet tout à fait propice soit à la caricature, soit à la gêne rigolarde, soit à la simplification égrillarde. "

Lesinrocks.com  : "La série “Master of sex” ausculte les fondements scientifiques du désir. En direct des années 50, ‘Master of Sex’ analyse les blocages d’une société puritaine et balaye les rapports d’un pays à son intimité. Chaud et froid en même temps.."

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Game of Thrones hors normes

 Game of Thrones
 Game of Thrones
Notre «âge d'or» actuel de la fiction télévisée a largement été marqué par une obsession d'authenticité. Tout est toujours le reflet de quelque chose d'autre et cette autre chose c'est nous, tels que nous étions et tels que nous sommes. Des séries telles que #Deadwood et #MadMen sont des merveilles obsessionnelles du détail historique, tandis que Les Sopranos et Breaking Bad proposent des études de familles américaines si nuancées que nous avons l'impression d'être assis dans leur salon.

Même des objets emblématiques du passé comme Battlestar Galactica sont ré-imaginés pour en faire des allégories géopolitiques de pointe. The Wire –à mon avis la meilleure série de l'histoire– constitue l'apogée de cette tendance, un travail si rigoureux d'un point de vue journalistique qu'il est enseigné dans les cours de sociologie d'universités renommées.


#GameOfThrones, la série fantastique de #HBO basée sur la saga encore inachevée Le Trône de fer de l'auteur George R.R. Martin, n'appartient pas à la même catégorie. Elle parle de sabres, de sceaux, de dragons et de zombies férus de bébés gelés et elle n'a décidément pas l'ambition de transcender ces attributs ou d'en faire une critique ironique. En tant que telle, elle représente une étrange convergence de hiérarchies, un travail de genre (le fantastique) que l'on n'associe pas traditionnellement à quelque chose de prestigieux, dans une forme (télévisuelle) récemment devenue prestigieuse, sur la chaîne (HBO) associée à cette transition de la façon la plus iconique qui soit.
Game of Thrones est une série follement distrayante et immensément... lire la suite sur Slate.fr...>>
Source Slate.fr

RAY DONOVAN


SÉRIE américaine - 2013
Série créée par Ann Biderman

03 saisons - saison 03 en tournage

Résumé... Ray Donovan travaille pour un influent cabinet d'avocats : les familles les plus aisées de Los Angeles font appel à lui lorsqu'elles sont dans une situation compromettante, Ray et son agence arrangent la vérité pour les médias afin de sauver des carrières. Mais Ray pourrait être rattrapé par son passé : son père Mickey, un arnaqueur qu'il a aidé à mettre en prison, est placé en liberté conditionnelle et veut renouer avec sa famille. Ray refuse de laisser revenir l'homme qui a détruit sa vie.






Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Ray, cette brute attachante rejoint ces héros ravagés par une enfance tordue, tiraillé par tant de contradictions qu'il en destabilise le spectateur : gentil, méchant, fréquentable ? Jon Voight est magistral dans le rôle du père déjanté. Classieux comme un vieux mafieux, macho juste de ce qu'il faut, et d'un égoïsme sans borne... Les rôles masculins sont très forts et le scénario est audacieux.
Deux grands moments cultes pour moi : les dernières minutes du S02E7 quand, sans un mot, Ray entre dans la danse avec son fils sur "Walk this Way" d'Aérosmith qui m'ont prise aux tripes : il sourit... Et comment décrire la fin du S02E10 où Ray, en pleine nuit, entre dans les vagues, nu et presque libre ?!



Voir la scène déjà culte...


La presse en parle...
Serietv.lemonde.fr : "Noir,malsain, mais tellement bon..." "La noirceur des personnages contraste singulièrement avec le caractère lisse et poli des milieux dans lesquels Ray est amené à naviguer quotidiennement..." "La scénariste Ann Biderman excelle dans la définition de ses personnages, dans la mise en lumière de leurs failles, de leur fureur et de peut-être de leur folie."


LeMonde.fr : "Une série familiale attachante autour de trois frères et d’un homme toxique..." "...sur fond mafieux, "Ray Donovan" voit s’écharper un fils, Ray, mi-détective et mi-homme de main à Hollywood, et son père, Mickey, en quête de jouissance après vingt ans de prison. Deux personnages aux antipodes l’un de l’autre – l’un sombre, silencieux et magnétique ; l’autre enjoué, disert et répulsif – qui ont valu aux deux acteurs une nomination aux Golden Globes en 2013."


Lesinrocks.com  : "Les bas-fonds d’Hollywood et le destin tordu d’une famille se croisent dans “Ray Donovan”. Depuis que Raymond Chandler, James Ellroy et quelques autres l’ont élue capitale du “noir”, Los Angeles déverse son spleen ensoleillé et vicieux sur le monde entier. L’envers du décor antispectaculaire et décadent a définitivement ringardisé les images trop douces de carte postale. La dernière création en date de la chaîne câblée américaine Showtime (Dexter, Homeland) réactive depuis le début de l’été cette tradition vintage pleine d’aspérités."

Telerama.fr  : "Une série criminelle prometteuse et puissamment incarnée..."

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THE KILLING

SÉRIE policière américaine - 2011
Série créée par Veena Sud et adaptée par la Danoise Forbrydelsen

04 saisons - saison 04 en tournage


Résumé... À Seattle, sur fond de campagne électorale, les inspecteurs Sarah Linden et Stephen Holder enquêtent sur le meurtre d'une adolescente, Rosie Larsen.
Son corps a été découvert mutilé dans le coffre d'une voiture de campagne de Darren Richmond, conseiller municipal et candidat face au maire sortant. Peu à peu, le duo atypique cerne la personnalité de Rosie, tandis que les masques tombent parmi ses proches.








Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Il y a ce bout de femme flic, jouée par #MireilleEnos, magistrale dans ce personnage insaissable, serrée dans son pull, son jean's et sa queue de cheval, enfermée dans son histoire de vie, toute tendue dans une seule direction : attraper le tueur, puis plonger dans l'enquête suivante, la suivante et encore et plus encore. Sauver le monde...
Il ya son collègue, génial #JoelKinnaman, rescapé lui aussi... La jeune #BexTaylorKlaus très attachante en punk des rues...
Il y a les méchants, qui deviennent gentils, les gentils qui mutent en méchants, ceux qu'on identifie pas tout de suite, les transparents qui prennent matière au fil du temps. L'enquête est servie sous la forme d'un épisode = une journée en temps réel. Une jeune fille est trouvée morte dans cette ville où il pleut tout le temps, tellement c'est triste. On se croit en angletterre, et c'est aussi bon qu'une série d'Outre-manche... J'ai été aspirée par cette série jusqu'à la fin !



La presse en parle...
Télérama.fr : "“The Killing”, c'est une tuerie !...." ".. Réellement captivante, cette série vaut aussi pour son approche psychologique et son ambiance pesante, et prend le temps de nous faire éprouver à la fois sympathie et suspicion pour certains de ses héros – notamment Holder, flic aux méthodes ambiguës, et Darren Richmond, candidat humaniste et charismatique à la mairie mais non dénué de zones d'ombre..."

SériesAddict.fr : "...The killing, à elle seule, réussit l'exploit de réunir tous les ingrédients qui font la force d'une grande saga contemporaine, avec des rebondissements, des caractères très forts et un scénario en béton armé. Le tour de force de la série est également d'avoir su produire et alimenter un suspens quasi inaltérable pendant 20 épisodes, si ça ce n'est pas un exploit ? . .."












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WHAT REMAINS

What Remains série TVSÉRIE britanique policière - 2013
Série créée par Tony Basgallop.
Mini série de 4 épisodes de 52 mns



Résumé... Le corps de Melissa Young, une jeune femme d'une trentaine d'année, est retrouvé en décomposition dans le grenier de son appartement, deux ans après sa mort. Comment se fait-il que personne n'ait signalé sa disparition, ou même remarqué qu'elle était partie ? Quelle vie a-t-elle vécu ? Qui la connaissait ? Enfin, qui est ce tueur qui court toujours ?

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
What RemainsDès les 1ères minutes j'ai aimé la jeune femme trop ronde, les escaliers qui craquent, le vieux flic usé qui n'en fait qu'à sa tête, la vieille batisse banale, les habitants ordinaires. Nous voilà embarqués dans cette enquête où transpirent les secrets, les silences et les non-dits du quotidien de chaque appartement et de chacun de ses occupants, même ceux qui ne sont pas censés habiter là...
Agatha Christie a du inspirer Tony Basgallop. On est en angleterre sans l'ombre d'un doute, peut-être même dans une partie de Cluedo ?...



What Remains série TV







La presse en parle...
Myteleisrich.hautetfort.com : "Derrière ses atours de fiction d'enquête classique, What remains se démarque tout d'abord par l'angle avec lequel la mort de Melissa Young est abordée. La jeune femme étant décédée depuis plus de deux ans....""... La construction de l'intrigue de What remains suit la mode narrative actuelle des timelines qui s'entremêlent, nous faisant vivre les derniers mois de Melissa Young en écho à la progression de l'investigation dans le présent. S'employant à montrer toujours plus l'isolement de la jeune femme, la mini-série entrouvre peu à peu les secrets que cache chacun des habitants de l'immeuble. Le cadre choisi d'une vieille et grande maison est ici très opportun pour susciter inquiétude et mystère..."

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GAME OF THRONES

SÉRIE américaine de fantasie médiévale - 2009
Série créée par David Benioff et D. B. Weiss d'après les romans de George R. R. Martin

04 saisons - saison 05 en tournage

Résumé... Game of Thrones, également désignée par le titre français des romans dont elle est adaptée, Le Trône de fer, est une série télévisée américaine de fantasie médiévale. Il s'agit de l'adaptation du Trône de fer (A Song of Ice and Fire), une série de romans écrits par George R. R. Martin.

L'histoire de la série, située sur des continents fictifs où les saisons peuvent durer plusieurs années, entrelace les intrigues.
La première suit les membres de plusieurs familles nobles dans une guerre civile pour le Trône de fer du Royaume des Sept Couronnes ; la deuxième couvre la menace croissante de l'hiver approchant et des créatures mythiques venues du Nord ; la troisième raconte la démarche de la dernière représentante en exil de la dynastie déchue en vue de reprendre le trône.
À travers ces personnages tous «moralement ambigus», la série explore les sujets liés au pouvoir politique, à la hiérarchie sociale, la religion, la guerre civile, la sexualité, et à la violence en général.
Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Mais j'ai eu besoin, je l'avoue, de quelques épisodes et de la frénésie des médias pour accrocher avec cette série. Si j'aime l'époque médiévale, la fantasy n'est pas ma tasse de thé. Ne faisons pas la sourde oreille à cet évènement "la série la plus regardée de tous les temps, blablabla..." et jetons y un oeil ! Bon, de gros moyens et quelques acteurs que j'aime : Lena Headey (Sarah Connors dans 
Terminator : The Sarah Connor Chronicles)Nikolaj Coster-Waldau dégage plein de féromones, une belle prestation pour Peter Dinklage... C'est parti, je me laisse emporter ! Et le piège se referme sur moi, évidemment ! Et évidemment je ne vais plus pouvoir freiner...

Mais je vais être honnête, pas de révélation pour moi. La série Vikings, série Rome, ou la série The Tudors m'ont, en comparaison, totalement conquise à leurs univers, à la limite de la reconstitution historique...

Un bon divertissement, des retrouvailles sympas avec Lena Headey (Sarah Connors dans 
Terminator : The Sarah Connor Chronicles), la révélation d'une jeune actrice qui tiendra, vous verrez, ses promesses : Maisie Williams, à suivre absolument !

La presse en parle...
En 2013, Pierre Sérisier, peu avant la troisième saison, parle sur son blog « Le Monde des séries » d'un phénomène qui dépasse le cadre des séries télévisées. En mai 2014, Camille Pascal, éditorialiste à l'hebdomadaire Valeurs actuelles, publie une chronique dans laquelle il explique que « le trône de fer est en réalité une parabole psychanalytique freudienne112. »

Télérama : "...“La chaîne câblée HBO, mètre étalon des séries de qualité, se lançait hier dans la fantasy, genre littéraire popularisé sur papier comme sur grand écran par Le Seigneur des Anneaux. C’est encore un best-seller qui est adapté ici, Le Trône de fer de George R.R. Martin, complexe histoire de guerre, de trahisons, de territoires mythologiques et de menaces fantastiques. Pas de panique cependant : les responsables de l’adaptation parviennent, du moins dans ce premier épisode, à une certaine clarté, préférant donner vie à leurs personnages et dessiner les contours de l'histoire plutôt que de nous en mettre plein la vue...."

"...Pour peu qu’on s’accommode des lourdeurs du genre – les barbares chevelus qui s’accouplent comme des animaux, les fiers soldats, les dialogues parfois pompeux –, Game of thrones offre un drame sombre aux multiples ramifications épiques, sentimentales et politiques, qui devrait satisfaire l’exigence des amateurs des séries d’HBO. Servie par un casting de qualité (Sean Bean, Lena Headey, Peter Dinklage et beaucoup d’autres), ce projet imposant, qui écrase comme on s’y attendait le passable Camelot, ne cherche sans doute pas à concurrencer l’intelligence de Sur écoute, En analyse ou Treme. C’est un grand spectacle de qualité, qui a les moyens de ses ambitions, et devrait faire date dans l’histoire de la fantasy à la télévision.."

"Game of Thrones hors normes" par Slate.fr... Lire la suite...>>

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TRUE DETECTIVE


SÉRIE américaine policière - 2014
Série créée par Nic Pizzolatto
02 saisons - saison 03 en tournage

Résumé... La série se présente comme une anthologie, chaque saison ayant un casting et une intrigue distincts. La première saison se déroule en Louisiane, en 1995, et trace l'enquête de deux inspecteurs de la Louisiana State Police, Rust Cohle et Martin Hart, chargés de résoudre le meurtre d'une jeune femme coiffée de bois de cerfs et tatouée de dessins sataniques.
Alors qu'ils ont quitté la police, ils sont contactés en 2012 par deux autres inspecteurs alors qu'un meurtre similaire a été commis.





Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Quel duo font ces deux-là ! McConaughey/Harrelson sont stupéfiants ! L'histoire est puissante, les personnages aussi tordus qu'attachants. Dans l'oppressant bayou Louisianais, ils vont chercher le monstre pendant 17 ans, et nous tenir en haleine 6 épisodes d'une heure.
C'est glauque et sombre comme peut l'être l’âme humaine quand les instincts primitifs les plus barbares révèlent aussi les grands courages et les belles personnes. J'aimerais ne pas l'avoir regardée pour la découvrir à nouveau...

La presse en parle...
Les Inrocks : "...“True Detective”: originale et maîtrisée, la nouvelle série HBO fascine. Annoncée comme l’une des séries les plus attendues de l’année, la nouvelle perle de HBO “True Detective” tient toutes ses promesses. Et plus encore."





Télérama : "...“True Detective”, claque intense. La fiction d'HBO ne révolutionne pas la télévision, mais tout ce qu'elle fait, elle le fait intensément. Ce qui en fait la série la plus fascinante de la saison..."

"...Matthew McConaughey y est immense. Il marque chaque plan de sa présence possédée, de son incarnation hallucinante et hallucinée. Au risque d’être consensuel, le prochain Emmy (quelle que soit la catégorie) est à lui. Devrais-je dire « à eux » ? Car là où McConaughey excelle dans l’extrême, la violence des émotions et de la chair, la performance de Woody Harrelson, plus « commune », moins extrême, n’est pas moins remarquable. True Detective est plus qu’un simple écrin pour ces deux-là, mais ils prouvent, avec une force rare, que deux grands acteurs peuvent élever une série à un niveau supérieur."




L'Express : "Une série magistrale, d'une élégance rare, exceptionnelle"









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BLACK BOX




SÉRIE Médico-Psy USA - 2014
Série créée par Amy Holden Jones.
Avec Kelly Reilly (incontournable "Wendy" dans la trilogie que démarre L'Auberge espagnole de Klapisch) , Ditch Davey, Vanessa Redgrave,
Ali Wong 
01 saison - saison 02 en tournage





Résumé... Catherine Banks, une célèbre neurologue à qui tout semble réussir, se bat en secret contre une maladie mentale : elle est bipolaire, comme l'était sa mère. Régulièrement, lorsqu'elle ne prend pas ses médicaments, elle est traversée de fulgurance, mais peut aussi se transformer en prédatrice à l'appétit sexuel vorace, ou mettre sa vie gravement en danger. Si sa famille est au courant du mal qui la ronge, son fiancé ignore tout de son état et de ce dont elle est capable. Avec ses patients, elle est en empathie totale, quitte à employer des méthodes peu conventionnelles pour les aider...

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Parce-que voir revisités les bobos de l'âme par la neurologie est assez amusant, parce-que suivre le raisonnement d'une neurologue elle-même bi-polaire qui cherche, de la maladie psy ou de la tumeur cérébrale, quelle peut-être la cause des pathologies de ses patients, est paradoxal, intéressant, différent. Et puis elle a une vie improbable et est entourée de rôles attachants : Ali Wong rappelle Abigail dans NCIS, surdouée elle vit dans son labo !
Bon, oui, OUI c'est vrai, depuis Ally McBeal les bi-polaires sont à la mode. Oui, dans Homeland Carrie en fait des tonnes. Mais là, on arrête tout, c'est de THE WENDY of the Auberge Espagnole qu'on parle ! Et soyons honnêtes, toutes générations confondues, Kelly Reilly fait fondre tous les hommes. Et puis il y a l'autre docteur, là, le Ditch Davey, acteur australien qui ne laissera pas mes copines indifférentes... 
Télérama et autres critiques référents n'ont, souvent, pas aimé cette nouvelle série, trouvant le thème de la bi-polarité un peu trop... facile. Je suis certaine qu'ils ne sont pas allés au-delà du 1er épisode, qui n'a, je suis d'accord, rien d'exceptionnel...
Oui, OUI c'est vrai depuis Ally McBeal les bi-polaires sont à la mode. Mais là, on arrête tout, c'est de THE WENDY of the Auberge Espagnole qu'on parle ! Alors, voilà, ils sont tous cinglés dans la Box. Et alors ? Moi je prends le risque : j'aime !

La presse en parle...
SeriesAddict.fr : "...Autre perspective intéressante, l’empathie dont fait preuve le personnage. L’idée qu’un schizophrène soit vu et analysé par un schizophrène et non un docteur lambda est très intéressante, tout comme l’était par exemple Dexter avec ses confrères serial killers. On va ainsi aborder un côté de la médecine jusqu’ici peu développé, ce qui évitera toute redondance avec d’autres séries médicales..."
EvaluateurenseriesTV.com : "...La maladie mentale en série. Il est plus facile de transmettre la douleur au petit écran (comme au grand) lorsqu’elle est visible. La pérennité de plusieurs séries médicales comme Grey’s Anatomy, E.R. et Remedy au Canada (qui vient d’être renouvelée pour une seconde saison) en témoigne. C’est moins évident en ce qui a trait à la maladie mentale, sous toutes ses formes, à l’image de notre société d’ailleurs (par exemple au Canada, on met encore en place en 2014 des campagnes de sensibilisation sur la dépression, alors que la population peine toujours à faire la différence entre tristesse passagère et condition médicale). ...." 
"...Il y a une corrélation entre Black box et la défunte House dans lesquelles on retrouve un personnage principal asocial en proie avec ses propres démons, mais doté d’un talent sans égal pour prononcer l’exact diagnostic d’un patient, envers et contre tous (d’ailleurs, le réalisateur du pilote de l’actuelle série, Ryan Singer, a aussi collaboré aux épisodes de la précédente). Mais à la différence du Dr Gregory, Catherine est beaucoup plus sympathique et la prestation de Kelly Reilly dans ce rôle principal est notoire..."

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VIKINGS

SÉRIE HISTORIQUE
2013 -  Canado-Irlandaise
Série créée par Michael Hirst
(The Tudors)
Avec Travis FimmelKatheryn Winnick, Michelle Dockery, Jim Carter 
03 saisons - 03 en cours de tournage






Résumé...
La série suit les exploits d'un groupe de Vikings mené par Ragnar Lothbrok, l'un des plus populaires héros vikings de tous les temps au destin semi-légendaire.

Ragnar serait d'origine danoise, suédoise ou encore norvégienne selon les sources. Simple fermier, il est supposé avoir unifié les clans vikings en un royaume aux frontières indéterminées à la fin du viiie siècle (le roi Echbert mentionne avoir vécu à la cour du roi Charlemagne couronné en 800).
Mais il est surtout connu pour avoir été le promoteur des tous premiers raids vikings en terres chrétiennes, saxonnes, francques ou celtiques.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
d'abord parce-que j'ai adoré The Tudors, série historique qui suit la dynastie des Tudors. Michael Hirst ne pouvait que nous époustofler à nouveau ! Les paysages nordiques (qui sentent l'Irlande) sont splendides, les rôles principaux sont vraiment fascinants.
Les Vikings ont tant marqué l'histoire que toute nouvelle fiction sur le sujet est interessante...
Mais surtout, quelle sauvagerie, quelle animalité, quelle proximité avec la nature et les éléments.
Voilà, ça dépote, ça balance des coups de hâche dans tous les sens. Les femmes y sont aussi guerrières que les hommes, les scènes d'amour sont torrides...Batailles, complots et sentiments à l'état brut. C'est spectaculaire et c'est bon !

La presse en parle...
Télérama : "Michael Hirst aime faire de l’Histoire des fictions « sexy », qui se soucient assez peu de crédibilité et de fidélité aux faits. Regorgeant de beaux costumes, de jolis décors, de scènes de sexe, de sang et d’acteurs cabotins, The Tudors et The Borgias pouvaient à juste titre irriter les historiens et les amateurs de fictions subtiles. Avec Vikings, il a trouvé une parade pour faire taire ses détracteurs : cette histoire-là est en bonne partie une légende, récit de la Scandinavie médiévale où les dieux ont leur mot à dire. Vikings est plus une aventure imaginaire qu’un exercice historique, et Hirst peut s’y amuser sans trop nous agacer.

20 Minutes : "...«Vikings», la série qui a conquis les historiens..."
"..Ragnar Lodbrok est le Vercingétorix des Vikings. On sait des trucs, mais on ne sait pas tout. Du coup, on en rajoute un peu… Lundi soir sur Canal +, la saison 2 de la série «Vikings» permettra de suivre les aventures de ce roi scandinave à semi-légendaire. «Les historiens et les archéologues ont permis d’établir quelques faits sur la vie de Ragnar Lodbrock, explique Maja Bäckvall, professeur d’histoire scandinave à l’université Uppsala sur son blog. Mais la littérature et la tradition lui prêtent également des hauts faits fantastiques et probablement imaginaires.»

Michael Hirst, déjà créateur de la série «The Tudors», s’est toujours défendu de faire des séries purement historiques. Pour «Vikings» cependant, série produite par la chaîne History Channel, le réalisateur s’est entouré d’historiens pour donner corps à son récit.
Tordre l’histoire pour le plaisir
Déjà accusé de ne pas assez coller à la réalité historique dans «The Tudors», Michael Hirst avait anticipé les critiques dans un documentaire de History Channel: «La série décrit plusieurs événements historiques plausibles. Il est fort peu probable qu’ils aient eu lieu de cette manière ni même que Ragnar Lodbrok ait réalisé un dixième des actes politiques ou guerriers qu’on lui prête. Mais peu importe. De toute façon, on ne connaît pas la chronologie exacte alors autant en adopter une qui soit linéaire et donc plaisante à suivre.»..."
"...Récemment, Michael Hirst a annoncé que dans une prochaine saison, ses Vikings attaqueraient Paris et que la série ne s’arrêterait pas avant la découverte de l’Amérique par son personnage principal. Là encore, les preuves historiques manquent. Mais qui n’a pas hâte de voir de tels épisodes ?..."

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La musique du film est composée par Trevor Morris

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PERCEPTION

PERCEPTION
SÉRIE POLICIERE & PSYCHOLOGIQUE
2012 -  USA
Série créée par Kenneth Biller et Mike Sussman
Avec Eric McCormackRachael Leigh Cook, Michelle Dockery, Jim Carter 
03 saisons - Série toujours en cours de tournage

Résumé...
Le Dr Daniel Pierce est un neuroscientifique talentueux mais excentrique qui enseigne à l'université. Il est enrôlé comme consultant par le FBI pour aider à résoudre certains de ses cas les plus complexes à Chicago. Atteint de schizophrénie paranoïde, ses hallucinations l'aident souvent à résoudre les enquêtes.Daniel Pierce devra travailler étroitement avec l'agent spécial Kate Moretti (une ancienne élève qui le recrute pour travailler avec elle au sein du FBI), Max Lewicki (l'assistant pédagogique du docteur Pierce) et Natalie Vincent, une hallucination, conséquence de sa schizophrénie, qui est également sa meilleure amie.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Merci à M6 d'avoir attiré mon attention sur cette série ! La semaine suivante la série migrait en deuxième partie de soirée par manque d'audience ! Il est bien regrettable que seul un battage de chroniques (France Inter et autres relais...) éveille la curiosité des téléspectateurs équipés d'un cerveau... cette série n'en a pas profité et donc elle est passée inaperçue. Et pourtant, oui pourtant elle est très bien montée. On y côtoie un homme (séduisant s'il en est) "qui n'est pas tout seul dans sa tête " et se bat chaque jour pour déjouer ses démons intérieurs tout en utilisant sa sensibilité exacerbée pour résoudre... des meurtres ! Un polar psy, c'est bien le mot...
Eh bien contrairement à tout ce que j'ai lu sur le sujet, moi j'ai immédiatement accroché avec Le Dr Daniel Pierce. Mais peut-être ai-je quelques affinités avec lui ? Qui aime mes fantômes (celui d'Ally Mac Beal ?!) me suive...

La presse en parle...
Et n'a pas fait un bon accueil à cette série qui suit la lignée des "Lie to me", "Mentalist" et autres héros cinglés au QI élevé. Tant pis pour eux !
Cinénews.be: "Critique Séries : Un dérivé de plus dans l'univers des enquêteurs barjos mais à l'impressionnant Q.I.!..."
BrainDamages.fr : "...Formule classique mais réussie Autre question : Sherlock, version Moffat, aurait-il inspiré les créateurs ? Les raisonnements du personnage sont représentés à l’écrit, son cerveau fonctionnant par anagrammes. Sans compter sur une tenue très ressemblante. Perception n’en reste pas moins une série très efficace. A l’instar d’une série comme Rizzoli & Isles, diffusée aussi sur TNT, on a là une comédie légère d’été très bien réalisée. L’excentricité, la particularité du personnage font oublier qu’on a là une énième série à consultant. Comme Psych, Mentalist, Perception s’en sort très bien dans son registre. La formule est connue, tout le monde sera d’accord. Mais ce personnage atypique, bien sympathique, pourrait être capable de fidéliser le public..."
Télérama : "..Il y a dix ans, on aurait peut-être accordé un peu d’intérêt à ce genre d’histoire tirée par les cheveux, cousue de fils blancs, qui entretient l’idée qu’une maladie mentale grave – le héros est sérieusement malade – peut être super cool, et qui compile les clichés – le campus, le prof à lunettes, la jeune flic du FBI jolie comme dans une pub, le doyen compréhensif, etc. Depuis, on en a vu d’autres, et des mieux..." "...Avec le temps, Daniel Pierce deviendra peut-être attachant – il est clairement en souffrance, et devrait susciter tour à tour pitié et admiration – et sa relation avec son assistant, un élève un peu geek chargé, en gros, de lui dire quand la personne avec qui il parle est réelle ou hallucinée, pourrait fonctionner..."
Elle.fr : "...Prof de neurosciences à Chicago, le Dr Daniel Pierce est recruté par l’agent du FBI Kate Moretti, une de ses anciennes élèves, pour résoudre les enquêtes les plus opaques. Dans la facétieuse série « Perception », le surdiplômé Pierce souffre aussi de schizophrénie. Mais... à la sauce hollywoodienne. En voici les riants symptômes : pour soulager ses angoisses, il fait des mots croisés et écoute de la musique classique sur d’antiques cassettes audio. Attention, si vous lui refourguez « La Symphonie n° 1 » de Mahler dans la version Karajan au lieu de la version Solti, vous allez nous l’énerver. Pierce a par ailleurs des hallucinations très télégéniques. Ce qui lui permet, comme dans « Qui veut gagner des millions ? », de faire appel à des amis pour percer les plus noirs mystères. Dans l’épisode 5, même notre Jeanne d’Arc, toujours bonne fille, lui file un coup de main. Thank you so much, Joan…...."

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THE SARAH CONNOR CHRONICLES

TERMINATOR - THE SARAH CONNOR CHRONICLES
SÉRIE SCIENCE FICTION - 2008
Série créée par Josh Friedman.
02 saisons

Résumé... Cette série est dérivée de la triologie "Terminator". L'action est située après "Terminator 2 : Le Jugement dernier". À partir de cet instant, le temps n'étant pas linéaire mais constamment modifié, un futur alternatif apparaît, ne tient pas compte du troisième épisode "Terminator 3 : Le Soulèvement des machines". La série raconte les aventures de Sarah Connor et de son fils John fuyant les autorités américaines et les Terminators envoyés par Skynet pour éliminer ce dernier et l'empêcher ainsi de prendre, dans le futur, la tête de la Résistance. Sarah tente d'empêcher l'avènement de Skynet, afin d'éviter la guerre nucléaire et la domination des machines sur l'humanité.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Parce-qu'avant Terminator je n'avais jamais eu plaisir à regarder de la science fiction, et qu'après j'ai été curieuse de voir ce qu'une série pouvait tirer du scénario. J'ai tant aimé Linda Hamilton dans le rôle de Sarah Connor que je pensais difficile de me faire apprécier une autre actrice dans la peau de cette battante. Lena Headey est pourtant totalement crédible dans cet univers... Action et science fiction, deux saisons réservées aux afficionados de la trilogie de James Cameron...







La presse en parle...
Le Monde : "...Terminator : The Sarah Connor Chronicles a trouvé son identité, son ton et son réel intérêt. La série s'est largement affranchie des films dont elle est inspirée en acceptant de poser des questions qui ne se résument pas au simple combat du Bien contre le Mal et qui ne se réduisent pas au seul duel (devenu un peu trop récurrent, ces derniers temps) entre l'Homme et la Machine. Entendons-nous bien, quand TSCC s'arrêtera, elle ne laissera pas un grand vide comme celui que l'on peut anticiper avec la fin prochaine de The Shield, mais tant que les épisodes s'enchaîneront, on peut continuer à les suivr
e avec un certain plaisir. La raison en est simple. Le thème de la guerre, qui fait office de toile de fond, conserve aux Etats-Unis une réelle pertinence et continue de susciter parmi les Américains des sentiments contradictoires qui sont plutôt bien décrits dans la série...."



"... Le thème est complété par plusieurs autres aspects qui tiennent compte de la réalité et pointent du doigt les conséquences de la guerre. 
Cela concerne notamment la torture et la représentation que l'on se fait de l'ennemi, le besoin de lui donner une apparence péjorative ou menaçante afin de justifier ses propres excès. ...."
"... Le dernier thème qui mérite d'être relevé est celui du destin. Le point d'interrogation porte sur la réalisation de ce qui est prévu et de l'éventuelle modification du cours établi de l'histoire. La question est de savoir si ce qui est écrit "sur le grand rouleau" est à jamais gravé et ineffaçable ou s'il peut être raturé, biffé et réécrit ? L'homme est-il prisonnier du temps ou possède-t-il les moyens de l'influencer ?..."

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La musique est de Bear_McCreary
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