DIRTY SEXY MONEY

SÉRIE américaine - 2007
Série créée par Craig Wright.
02 saisons







Résumé...
Les Darling sont une des familles les plus puissantes de New York. Dans la droite lignée des Kennedy, ils ont l'argent, le pouvoir, des ambitions et une fâcheuse tendance à se retrouver dans des situations impossibles et à fricoter avec des gens peu recommandables... Avocat new yorkais idéaliste, Nick George mène une vie tranquille auprès de sa femme et de sa fille jusqu'au jour où son père disparait dans un accident d'avion. La richissime famille Darling, qui l'employait depuis des décennies, trouve naturel que son fils lui succède pour gérer leurs intérêts divers. D'abord réticent, Nick saura trouver son propre intérêt à cet emploi tout-terrain tout en menant l'enquête sur la disparition de son père…Avant lui, son père s'était livré corps et âme à cette famille destructrice en devenant leur conseiller. Servir les Darling est-ce une chance ou une sentence ?





Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Une histoire d'orphelin empétré dans les méandres d'une riche famille de vrais déjantés. C'est du déjà-vu, mais les acteurs sont bons, l'histoire est distrayante, les revirements sont drôles. On a envie de s'en mêler... pour donner la fessée à Natalie Zea, secouer Peter Krause ou dénoncer Donald Sutherland...2 saisons c'est trop court...




La presse en parle...

Le Monde : "Champagne, limousines, penthouses décorés par des architectes d'intérieur, costumes sur mesure, excès de confiance, voire arrogance, que donne l'argent. Dans les cuisines d'Hollywood, la vie des riches, la vie des très riches, est une source inépuisable d'inspiration pour les scénaristes. Car on ne se lasse pas de goûter à ces contes modernes. Mais pour rendre ce genre de fable digeste, il convient d'amalgamer tous les ingrédients avec autre chose qu'une simple pincée de scandale ou un soupçon de malédiction..." 

Télérama :"...Une famille de millionnaires qui se déchire sur fond d'hôtels particuliers, de grosses voitures, de marbre, d'or et de fourrures, ça devrait vous plaire. Il y a Donald Sutherland dedans. A moins que le côté famille qui se déchire, qui se déteste, qui ne respecte rien et qui s'envoie en l'air n'importe comment ne vous déplaise ? Ah, j'allais oublier, William Baldwin y incarne un homme politique qui couche avec une transsexuelle, incarnée comme dans Orange is the New Black par une vraie transsexuelle, Candis Cayne..."


Libération : "
«Dirty Sexy Money», riche et cynique..." Lire la suite...>>

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DOWNTON ABBEY

SÉRIE ÉPOQUE - 2010 -  Britannique
Série créée par Julian Fellowes.
06 saisons - Série toujours en tournage


Résumé...
Cette série met en scène la vie de la famille Crawley et de leurs domestiques à Downton Abbey, une demeure anglaise, dans les années 1910. La série commence en 1912. Les héritiers de Downton Abbey ayant péri lors du naufrage du Titanic, la famille Crawley se retrouve dans une situation délicate : le domaine est soumis à l’entail, c'est-à-dire qu'il doit intégralement passer à un héritier mâle, le titre de Lord Grantham, le domaine et la fortune de la famille étant indissociables. Les trois filles ne peuvent prétendre ni au titre ni à l'héritage. Matthew Crawley, un lointain cousin, est le nouvel héritier. Il arrive à Downton Abbey où il découvre un style de vie nouveau pour lui, avec des règles très strictes qui régissent la vie entre aristocrates et serviteurs. La première saison plante décors et protagonistes, puis la Première Guerre mondiale va faire basculer les destins des personnages, les relations maîtres et domestiques, hommes et femmes...

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
J'aime le cinéma, la littérature et la musique britannique. Et puis j'aime l'histoire, découvrir ce qui s'est passé avant moi ou ailleurs. Downtown Abbey ne raconte rien d'autre que le quotidien d'une très grande maison qui va se trouver bouleversé par la guerre. Mais finalement c'est bien de notre histoire à tous qu'il s'agit, de comment les choses se font et se défont, de l'amour qui nous emporte parfois, de l'empathie des uns pour les autres. Ou pas, ou rien, ou bien pire...
De la cruauté des hommes donc, capables de sacrifier des générations sur des champs de bataille. De la force des femmes, qui restent, elles, par nature, les mains dans le réel du "nourrir, soigner, aider, donner la vie". Et puis le monde, qui tourne, sans qu'on n'y puisse rien. Un goùt de Jane Austen et de Gosford Park, « patrimoine culturel » so british !
Downtown est une belle fresque historique. On y rencontre des personnes attachantes dont les états d'âme sont, finalement, bien ressemblants aux notres : faire confiance, céder à la passion, suivre le chemin tracé... ou pas ?

La presse en parle...
En Grande-Bretagne, la série remporte un vif succès et devient quasiment institutionnelle grâce aux nombreuses intrigues, à la diversité des personnages et à la nostalgie d'une certaine époque.

Les Inrocks : "Downton Abbey scrute la fin de l’ère victorienne à travers des aristos angoissés et leurs domestiques. Une série anglaise saisissante." "...une histoire de château anglais au début du XXe siècle qui a raflé la mise. Downton Abbey pourrait ressembler à n’importe quel pudding en costume trop maniéré, dans la grande tradition patrimoniale dont la télévision européenne est si friande. Mais elle n’y ressemble ni de près, ni de loin. La modernité sérielle est entrée dans chaque plan de ce drôle d’objet aux saillies politiques aussi surprenantes que ses brusques montées de violence feutrée..."


Le Monde :"...des histoires d’amour contrariées, des secrets de famille (ici étendue aux domestiques), des rivalités et des complots, un peu d’intrigue policière (rien de mieux qu’un innocent accusé à tort de meurtre), beaucoup de bons sentiments et quelques mauvais, des retournements de situation rocambolesques et des résolutions satisfaisantes.
Il ne s’agit pas ici de bouder notre plaisir et Maggie Smith à elle seule justifie que l’on regarde cette série, mais de reconnaître qu’il est parfaitement coupable. Ce qui ne l’en rend peut-être que meilleur...."




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La musique du générique est de John Lunn...

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DEADWOOD

SÉRIE WESTERN - 2004 - USA
Série créée par David Milch d'après le roman homonyme de Pete Dexter.
03 saisons









Résumé...
À la fin des années 1870, la petite ville de Deadwood, située dans le Dakota du Sud, est devenue un endroit sans foi ni loi où se retrouvent tous ceux que la fièvre de l'or a attirés dans les Black Hills. On y croise plusieurs personnalités historiques, telles que Wild Bill Hickok, Calamity Jane, Seth Bullock, Al Swearengen et Wyatt Earp.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Arghhhh Deadwood, blast it, quel pied ! J'ai traversé l'univers de cette série sur plusieurs semaines et je me souviendrai longtemps de ce voyage. J'ai d'abord dévoré le livre "Deadwood" de Pete Dexter dans l'avion qui m'emmenait en Californie, pour me laisser ensuite entraîner avec le même plaisir, bien que tous les personnages y soient complètement revisités, par Deadwood la série. J'aime les cow-boys qui se couchent tout habillés, les chevaux qui ruent dans la boue, l'atmospère de bout du monde de ces villes minières et l'ambiance sauvage qui y régnait. Je me suis régalée. Et surtout, j'ai adoré redécouvrir Calamity Jane (jouée magnifiquement par Robin Weigert) et tous ces personnages qi ont bercé les westerns de notre enfance... Costumes, décors, action sont en phase pour le coté historique.
La musique de Reinhold Heil et Johnny Klimek est extraordinaire,  voir par ici...>>. Mais ce que vous retiendrez de cette série c'est ce "va et vient" entre le plancher des vaches et les hautes sphères. Ils sont rustres, mais ça fuse dans tous les sens...
Deadwood est de ces séries ou de ces livres qu'une fois terminés on aimerait n'avoir ni lus, ni regardés, pour avoir juste, de nouveau, le plaisir de les découvrir... Je me suis RÉ-GA-LÉE !


La presse en parle...

Télérama : "Une série de référence - il y a tout : la naissance d'une ville près d'un gisement minier (donc le contexte économique), la main mise d'un caïd (comment racketter les travailleurs par le jeu et la prostitution), les pouvoirs en cause, l'émergence du politique. En somme, l'histoire américaine autrement racontée mais toujours d'actualité ; de l'humour, du vice, de la violence mais aussi de l'humanisme donnent au scénario une vraie charpente ; acteurs magnifiques - bref on en voudrait encore !"

Le Monde :"C'est une série qui pue la sueur, qui refoule du pot de chambre après une nuit de fornication, qui empeste le whisky mal distillé et les chaussettes trouées dans des bottes crottées de boue. C'est une série qui va à l'encontre du mythe glorieux et exalté de la conquête de l'Ouest, du rêve colorisé comme Hollywood en a produit au kilomètre pendant des années...."
"...
Non, Deadwood, c'est l'ordinaire pouilleux des colons que l'idée de faire fortune ou simplement l'espoir d'une vie meilleure a jetés sur les routes et a plantés au milieu d'étendues où tout était à construire, à imaginer, à faire sortir de terre. C'est le récit de cette conquête qui donne encore aujourd'hui son identité au peuple américain..."

"...Deadwood est une série fascinante parce qu'elle fait appel à l'imaginaire, aux légendes que l'on a pu entendre lorsque l'on était enfant, en se demandant si elles étaient vraies ou si elles n'étaient que du cinéma. Bill Hickok a bel et bien existé, tout comme Calamity Jane, Wyatt Earp ou le sheriff Seth Bullock..."

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La musique du générique est de David Schwartz, un bonheur...

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Référencement site Internet
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THE GOOD WIFE



SÉRIE AVOCATS - 2009 - USA
Série créée par Robert et Michelle King. Produite par les frères Tony
et Ridley Scott, que j'affectionne particulièrement.
06 saisons - Toujours en cours de tournage







Résumé...
The Good Wife met en scène l’histoire d’Alicia Florrick, avocate et épouse d’un politicien volage accusé de corruption, qui reconstruit sa vie professionnelle et personnelle après ce scandale mélant infidélité et corruption.

Mère de deux enfants, elle retrouve un travail en tant qu’avocate. Elle se fait embaucher par Will Garner (Josh Charles) dans un cabinet de renom à Chicago, dirigé par Diane Lockhart...


Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
On retrouve ici cette ambiance de cabinet d'avocat déjà mise en scène dans Ally Mac Beal (qui reste "MA" série rien qu'à moi). Les personnages de cette série sont extrêmement attachants, droits dans leurs principes et pourtant corruptibles. On effleure les limites, celles de la loi, celles du couple. Alicia Florrick est incarnée avec élégance et retenue par Juliana Margulies, l'infirmière amoureuse de George Clooney dans Urgences. Josh Charles joue Will Garner, l'amant passionné. Christine Baranski est magistrale. Kalinda Sharma est géniale en enquêtrice surdouée à la Lisbeth Salander ... Alan Cumming ajoute une touche écossaise de la série.
Comme Ally Mac Beal en d'autres temps, The good wife m'a aidée à traverser un ouragan personnel, comme un livre excellent qui pourrait durer des mois.

La presse en parle...
Télérama : "Intelligente, subtilement dialoguée, portée par une actrice de talent (Julianna Margulies), secondée par une belle équipe et quelques invités aussi populaires qu’attachants (Michael J. Fox, Matthew Perry), The Good Wife est un cran au-dessus des NCIS, Bones et autres Hawaii 5-0, qui s’en sortent pourtant mieux en audience."


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La musique du générique est de Danny Lux...

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SUITS

SÉRIE AVOCATS - 2011 - USA
Série créée par Aaron Korsh
05 saisons - Toujours en cours de tournage

Résumé...
Avocat très ambitieux d'une grosse firme de Manhattan, Harvey Specter a besoin de quelqu'un pour l'épauler. Son choix se porte sur Mike Ross, un jeune homme très brillant mais sans diplôme, doté d'une mémoire photographique très précieuse. Ensemble, ils forment une équipe gagnante, prête à relever tous les défis. Mike devra cependant user de toutes les ruses pour maintenir sa place sans que personne ne découvre qu'il n'a jamais passé l'examen du barreau.









Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Dès les premières minutes, comment ne pas TOUTES (et toutes générations confondues), tomber sous le charme d'Harvey, qui cumule élégance, intelligence, séduction et sens de l'humour ?! Les 3 rôles masculins sont géniaux, en particulier celui de Louis Litt, joué par Rick Hoffman qui excelle en manipulateur maladroit et attachant. L'histoire, originale, démarre du pari que fait Harvey sur l'intelligence de Mike, surdoué, en le faisant passer pour un jeune avocat alors qu'il n'a aucun diplôme requis... Le rythme est là, dès le pilote on ne peut plus décrocher !
Un univers, des personnages, une ambiance, un rythme, une vraie série pour se distraire...

Attention aux amateurs de V.O., les dialogues sont servis à la mitraillette... ;-)


La presse en parle :
Télérama : "Suits parvient avec un peu de subtilité, d'intelligence et de style à renouveler le genre de la série d'avocats. Invraisemblable, certes, mais impeccablement interprétée, elle mêle les affaires de gros sous, riches en rebondissements, et les soucis personnels des deux héros, dont l'amitié vache apporte ce qu'il faut d'humour. Une série qui parvient à rendre sexy et amusant le droit des affaires mérite un coup d'oeil."


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La musique du générique est de Danny Lux...

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SCANDAL

SÉRIE POLITIQUE - 2012 - USA
Série créée par Shonda Rhimes
04 saisons - En cours de tournage







Résumé...
Olivia Pope est une brillante spin doctor et lobbyste. Après avoir été parmi les proches collaborateurs du Candidat Fitz pendant sa campagne, et permis sa victoire; Olivia a quitté l'équipe entrante à la Maison Blanche pour fonder son cabinet de conseil. Son travail ? Régler les problèmes de ses clients, souvent des personnalités publiques, dont la carrière, voir la vie, est mise en danger par un scandale sur le point d'éclater. Entourée d'une équipe ultra pointue de juristes /enquéteurs /hackeurs / tueurs, Olivia trouve une issue à toutes les crises...

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Dès le premier épisode ça fuse dans tous les sens sur un rythme trépidant dans lequel chaque personnage a un vrai rôle. Complots, meurtres et scandales à étouffer... mystères sans fin autour des membres de l'équipe d'Olivia...
Une série distrayante qui ne laisse aucun répit. Personnellement je trouve que la saison 03 est un peu tirée par les cheveux...
Attention aux amateurs de V.O., les dialogues sont servis à la mitraillette... ;-)

Les thèmes abordés : La corruption, la politique, la trahison, les relations de pouvoir, la sécurité amoureuse, le pouvoir...
Télérama : "Depuis le succès de Grey’s Anatomy, Shonda Rhimes, sans doute la scénariste la plus puissante de la télévision américaine, n’a fait que dupliquer la même recette, s'appliquant à ne prendre aucun risque..." "...La voici qui change, enfin, de monde. Olivia Pope, l’héroïne de Scandal, est la reine de la gestion de crise, une sorte d’avocate médiatrice qu’on embauche pour gérer un enlèvement, faire taire une accusation d’adultère ou blanchir un suspect avant même que la justice ne lui tombe dessus..."
..."Fini, donc, les soaps médicaux. Rhimes s’essaye à un mélange entre le polar, la série d’avocats et… le soap. On ne se défait pas si facilement de ses marottes, et sous le suspens – léger – ce qui compte le plus ici, encore une fois, ce sont les personnages et leurs histoires de cœur. Pas nécessairement leurs romances – rassurez-vous, il y en a – mais tout ce qui se passe dans leurs tripes, l’amour, le doute, la solitude, etc. La devise de l’héroïne (une femme solitaire, carriériste et malheureuse en amour, re-marotte), « je fais confiance à mes tripes », en dit long, tout comme cette réplique d’un de ses assistants, « tous ceux qui travaillent avec Olivia ont besoin d’aide, sont brisés quelque part. » Qu’on ne s’étonne pas si les enquêtes, à la manière des diagnostiques et des opérations de Grey’s Anatomy, servent de miroir aux questionnements existentiels des héros.
Il faut cependant reconnaître à Rhimes une échappée réussie hors de son monde de prédilection. Située à Washington, portée par des dialogues servis à la mitraillette – et du coup souvent artificiels, mais nous ne sommes pas ici dans une série réaliste – Scandal est une cousine très, très lointaine d'A la Maison Blanche, piquant à la grande série d’Aaron Sorkin ses ambiances tamisées de restaurants bourrés de politiciens et s’invitant carrément à la Maison Blanche, dans un arc narratif qui implique directement le président, et qu’on taira ici pour ne rien « spoiler »."




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