THE AFFAIR

SÉRIE américaine dramatique - 2014
Série créée par Sarah Treem et Hagai Levi

02 saisons - saison 02 en tournage







Résumé... Écrite par Hagai Levi, le créateur de EN ANALYSE, et Sarah Treem, scénariste de EN ANALYSE et de HOUSE OF CARDS, THE AFFAIR explore la crise traversée par deux couples face à une liaison extraconjugale. Les dix épisodes offrent une double approche émotionnelle de chaque couple en développant deux points de vue. Dominic West, lauréat d'un BAFTA pour son interprétation de Richard Burton dans LIZ TAYLOR ET RICHARD BURTON - LES AMANTS TERRIBLES et unanimement salué pour son interprétation dans la série SUR ÉCOUTE, incarne Noah face à Ruth Wilson (Alice Morgan dans LUTHER) qui prête ici ses traits à Allison. Maura Tierney (Abby Lockhart dans URGENCES) et Joshua Jackson (FRINGE) interprètent leurs conjoints respectifs. Mark Mylod, réalisateur de nombreux épisodes d'ENTOURAGE et de SHAMELESS, assure la mise en scène et participe à la production exécutive.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
C’est à quatre mains, un homme, une femme, que cette relation extra-conjugale nous est contée. Vue de mars, vue de vénus… l’aventure de l’homme et de la femme, éternelle, intemporelle. La fugacité de ce désir qui nous pousse parfois si loin de nos convictions et de nos promesses. Jusqu’où l’engagement à l’autre ne finit-il pas par nous éloigner de nous-même ? Dès les premières minutes on sait qu’on est là, au cœur de nos contradictions et de la difficulté à être à deux, à rester un couple…
IL raconte, on voit le film de l'histoire se dérouler. Et en milieu d’épisode, un break nous ramène au début, et c’est ELLE qui raconte. Le même moment de leur aventure, selon qu’il est ressenti et raconté au masculin ou au féminin, n’est pas le même. C'est terrifiant... 
Nous semblons de la même espèce, vous les hommes, et nous les femmes, mais c’est un leurre, un tour de dame nature qui, joueuse, nous a réunis dans la même espèce, avec des sensibilités aux antipodes les unes des autres. Mais, la vraie grande entourloupe, c'est qu'elle a aiguisé nos appétits pour que nous n’ayons qu’un seul et puissant désir, récurrent, énorme, tout le temps : nous plaire, nous renifler, nous aimer… 
C’est ça la vraie «affaire» !
Quelle belle idée d’explorer la tromperie en double scénario. De quoi devenir quand même un peu schizophrène dans la vraie vie…

La presse en parle...
Télérama.fr : "«The Affair» s'attache à une liaison aux conséquences obscures. Un récit intrigant au casting quatre étoiles..."

serieTv.blog.LeMonde.fr : "Rencontré très brièvement à Paris, le créateur de « The Affair », l’Israélien Hagai Levi (auquel on doit la formidable série « En analyse ») commente son projet : « Chacun des dix épisodes de cette première saison est structuré de la même manière, avec une partie narrée par Noah, l’autre par Alison. On brûle toujours de savoir, quand on tombe amoureux de quelqu’un, marié ou pas, comment l’autre vit cette relation. Que pense, ressent et voit réellement l’autre, qu’il s’agisse de moi mais aussi du monde qui l’entoure ? Et comment vit l’autre lorsque nous ne sommes pas ensemble ? C’est ce que j’ai rêvé de faire avec “The Affair” : que l’on vive l’histoire de l’attraction non voulue entre deux êtres du point de vue de chacun. » Ce qui permet d’engager le téléspectateur sur de fausses pistes selon les versions proposées, et de l’intriguer à l’extrême…"

Lesinrocks.com : "La première demi-heure laisse augurer une petite aventure banale, solaire, tout juste contrariée par deux événements morbides que nous tairons. Jusqu’au moment où (attention, inévitable spoiler) le spectateur comprend qu’il a perçu l’intrigue depuis un seul point de vue. Celui de l’homme. Alors, la perspective bascule et c’est la vision de la maîtresse potentielle que l’on adopte. Lui la montrait sexy, légère, joyeuse en robe courte. On la découvre endeuillée, triste, hésitante. Tous deux, on le comprend de plus en plus clairement, racontent leur histoire à un flic..."

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MASTERS OF SEX

séries TV Cha regarde trop de sériesSÉRIE américaine dramatique - 2013
Série créée par Michelle Ashford 

03 saisons - saison 03 en tournage

Résumé... A partir de 1957, et jusque dans les années 90, William H. Masters et Virginia Johnson, collègues et, plus tard, époux, révolutionnèrent la recherche scientifique sur la sexualité. Obstétricien de renom à l’université de Saint Louis, Masters, fatigué de travailler sur « comment naissent les bébés », décida, contre l’avis de ses supérieurs, de comprendre « comment on fait les bébés ». D’analyser le désir, le plaisir, l’orgasme, en recrutant des centaines de volontaires, prêts à jouir – seuls ou à deux – pour la science. Showtime, la chaîne de Dexter et Homeland, lançait ainsi Masters of sex, une série historique retraçant l'histoire vraie de ce gynécologue qui, en 1957, décide de mener avec son assistante la plus grande étude moderne jamais réalisée sur la sexualité humaine.

Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Les costumes et le décor l'époque et le ton caustique de Mad Man, deux acteurs étonnants, un scénario improbable, et c’est parti pour les débuts de la gynécologie, la découverte du sexe féminin, du désir (non ? Si !), du plaisir (re-non ?, re-si !) par la science ! Une histoire vraie.
Alors oui, évidemment, ça parle des hommes, des femmes, de leur désir et de leur plaisir. Alors oui, évidemment, j’ai regardé. Et j’ai beaucoup appris. Une plongée dans l’histoire de la femme, mais aussi dans les circonvolutions du couple et des contradictions de la société américaine.
On soupçonne que la femme, comme l’homme, doit avoir du désir et du plaisir, on aime la liberté du personnage de Virginia Johnson : une femme libérée qui aime le sexe et qui l'assume, mais en même temps cette femme-là dérange tellement ! Se pose alors la question de la place de la femme perçu d'abord comme une mére, de ses désirs, de sa féminité, de sa relation à la sexualité.
La bonne nouvelle, c'est qu'alors que 90%  des adultes seraient incapables de dessiner la forme exacte d'un clitoris (amis incultes ouvrez vos yeux ici...>>) en fait quelques scientifiques s'y interessaient quand même depuis des années. Voyage au centre de la sexualité...

La presse en parle...
Télérama.fr :  "Masters et Johnson, les chercheurs d'orgasme de “Masters of sex”", une série plus qu'excitante. Passionnante réflexion sur la libération sexuelle, “Masters of sex” nous dit tout sur les pionniers de la recherche scientifique sur l'orgasme. Un pur plaisir...." « …(1) On n’est pas obligé, même soixante ans après les événements, d’avoir lu l’essai majeur de Masters et Johnson, Les Réactions sexuelles, publiées en 1967 chez Robert Laffont. »

serieTv.blog.LeMonde.fr : "Subtile digression sur un sujet délicat. Cette série n'est pas seulement une très bonne surprise. Elle est une fiction animée par une grande intelligence et par une réelle subtilité sur un sujet tout à fait propice soit à la caricature, soit à la gêne rigolarde, soit à la simplification égrillarde. "

Lesinrocks.com  : "La série “Master of sex” ausculte les fondements scientifiques du désir. En direct des années 50, ‘Master of Sex’ analyse les blocages d’une société puritaine et balaye les rapports d’un pays à son intimité. Chaud et froid en même temps.."

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Game of Thrones hors normes

 Game of Thrones
 Game of Thrones
Notre «âge d'or» actuel de la fiction télévisée a largement été marqué par une obsession d'authenticité. Tout est toujours le reflet de quelque chose d'autre et cette autre chose c'est nous, tels que nous étions et tels que nous sommes. Des séries telles que #Deadwood et #MadMen sont des merveilles obsessionnelles du détail historique, tandis que Les Sopranos et Breaking Bad proposent des études de familles américaines si nuancées que nous avons l'impression d'être assis dans leur salon.

Même des objets emblématiques du passé comme Battlestar Galactica sont ré-imaginés pour en faire des allégories géopolitiques de pointe. The Wire –à mon avis la meilleure série de l'histoire– constitue l'apogée de cette tendance, un travail si rigoureux d'un point de vue journalistique qu'il est enseigné dans les cours de sociologie d'universités renommées.


#GameOfThrones, la série fantastique de #HBO basée sur la saga encore inachevée Le Trône de fer de l'auteur George R.R. Martin, n'appartient pas à la même catégorie. Elle parle de sabres, de sceaux, de dragons et de zombies férus de bébés gelés et elle n'a décidément pas l'ambition de transcender ces attributs ou d'en faire une critique ironique. En tant que telle, elle représente une étrange convergence de hiérarchies, un travail de genre (le fantastique) que l'on n'associe pas traditionnellement à quelque chose de prestigieux, dans une forme (télévisuelle) récemment devenue prestigieuse, sur la chaîne (HBO) associée à cette transition de la façon la plus iconique qui soit.
Game of Thrones est une série follement distrayante et immensément... lire la suite sur Slate.fr...>>
Source Slate.fr

RAY DONOVAN


SÉRIE américaine - 2013
Série créée par Ann Biderman

03 saisons - saison 03 en tournage

Résumé... Ray Donovan travaille pour un influent cabinet d'avocats : les familles les plus aisées de Los Angeles font appel à lui lorsqu'elles sont dans une situation compromettante, Ray et son agence arrangent la vérité pour les médias afin de sauver des carrières. Mais Ray pourrait être rattrapé par son passé : son père Mickey, un arnaqueur qu'il a aidé à mettre en prison, est placé en liberté conditionnelle et veut renouer avec sa famille. Ray refuse de laisser revenir l'homme qui a détruit sa vie.






Oui, cette série,  je l’ai regardée en entier et j’ai aimé parce-que…
Ray, cette brute attachante rejoint ces héros ravagés par une enfance tordue, tiraillé par tant de contradictions qu'il en destabilise le spectateur : gentil, méchant, fréquentable ? Jon Voight est magistral dans le rôle du père déjanté. Classieux comme un vieux mafieux, macho juste de ce qu'il faut, et d'un égoïsme sans borne... Les rôles masculins sont très forts et le scénario est audacieux.
Deux grands moments cultes pour moi : les dernières minutes du S02E7 quand, sans un mot, Ray entre dans la danse avec son fils sur "Walk this Way" d'Aérosmith qui m'ont prise aux tripes : il sourit... Et comment décrire la fin du S02E10 où Ray, en pleine nuit, entre dans les vagues, nu et presque libre ?!



Voir la scène déjà culte...


La presse en parle...
Serietv.lemonde.fr : "Noir,malsain, mais tellement bon..." "La noirceur des personnages contraste singulièrement avec le caractère lisse et poli des milieux dans lesquels Ray est amené à naviguer quotidiennement..." "La scénariste Ann Biderman excelle dans la définition de ses personnages, dans la mise en lumière de leurs failles, de leur fureur et de peut-être de leur folie."


LeMonde.fr : "Une série familiale attachante autour de trois frères et d’un homme toxique..." "...sur fond mafieux, "Ray Donovan" voit s’écharper un fils, Ray, mi-détective et mi-homme de main à Hollywood, et son père, Mickey, en quête de jouissance après vingt ans de prison. Deux personnages aux antipodes l’un de l’autre – l’un sombre, silencieux et magnétique ; l’autre enjoué, disert et répulsif – qui ont valu aux deux acteurs une nomination aux Golden Globes en 2013."


Lesinrocks.com  : "Les bas-fonds d’Hollywood et le destin tordu d’une famille se croisent dans “Ray Donovan”. Depuis que Raymond Chandler, James Ellroy et quelques autres l’ont élue capitale du “noir”, Los Angeles déverse son spleen ensoleillé et vicieux sur le monde entier. L’envers du décor antispectaculaire et décadent a définitivement ringardisé les images trop douces de carte postale. La dernière création en date de la chaîne câblée américaine Showtime (Dexter, Homeland) réactive depuis le début de l’été cette tradition vintage pleine d’aspérités."

Telerama.fr  : "Une série criminelle prometteuse et puissamment incarnée..."

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